🦙 Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté

LesHommes de bonne volonté est une suite romanesque écrite par Jules Romains, constituée de 27 volumes, publiés régulièrement entre 1932 et 1946. L'œuvre débute le 6 octobre 1908 par une présentation de Paris et des protagonistes, et se termine le 7 octobre 1933. Cette œuvre se fonde sur quelques principes de construction : Listento Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté on the English music album C'Est Noël ! by Génération Noël, only on JioSaavn. Play online or download to listen offline free - in HD audio, only on JioSaavn. Listento Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté on Spotify. Philippe Gautier · Song · 2009. Messagede Noël : « Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. » Acrylique sur carton. Vernis, non encadré Paix sur la terre Jean-Paul Lecoeuvre (Gipéhel). Art by Independent Artists. Gipéhel . We use cookies to deliver a reliable and personalised ArtQuidexperience. By browsing ArtQuid, you agree to our use of cookies. A. Artists; Community; More. Art Galleries; 3D; Paixsur la terre aux hommes de bonne volonté. Publié le 29 décembre 2009 par Curieux2010. Il y a des centaines d’années que les hommes (Attention féministes, je parle ici du genre humain.) se font mutuellement ces vœux et depuis des centaines d’années les guerres et les conflits n’ont jamais arrêtés. Les hommes de bonne volonté n’existent pour ainsi dire pas ou hominibusbonae voluntatis, paix sur la terre aux hommes de bon vouloir, de bonne Mais nous avons besoin d’entendre aussi que la paix est offerte « aux hommes de bonne volonté ». La paix que Dieu promet n’est pas celle que les hommes veulent se fabriquer eux-mêmes – et lorsqu’ils pensent illusoirement se la fabriquer ils multiplient les violences. La paix est offerte Listento Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté on Spotify. Jean-Paul Saint-Jean · Song · 2019. Paixsur la Terre aux hommes de bonne volonté . Message - Prière de l'ange LELAHEL. Je suis la Paix dans la Matière. Je suis l'expression de l'Amour Divin dans la Matière. Je suis l'expression de l'Amour de Dieu en toutes choses. Je suis la Paix de votre corps. Je suis l'Expression de Dieu dans votre corps. Je suis la Paix sur la Terre, et cette paix ne peut Paixsur la terre aux hommes de bonne volonté Publié dans IMAGES BAVARDES S i vous rêvez de clouer le bec à un fâcheux – ou en langage moins châtié, à un imbécile, un con ou un trou-du-cul –, il y a un Clint Eastwood pour ça, « 2EZQwA. La paix mondiale est-elle vraiment possible ? Les demandes en faveur de la paix n’en finissent pas. Les journaux en parlent presque tous les jours, mais notre monde s’enfonce de plus en plus dans la cruauté ! Les deux Guerres mondiales du 20ème siècle n’ont pas apporté la paix, et non pas mis fin à la Guerre froide ; elles ont causé davantage de divisions et de troubles sur la planète. Chaque année, à Noël, les chefs religieux parlent de l’enfant Jésus et de la paix sur la terre, mais la violence et les guerres continuent à s’intensifier !Des gens pieux brûlent des cierges et prient pour la paix. Des idéalistes signent des pétitions, organisent des marches et des conférences pour la paix. Des pragmatistes déploient les armes pour faire respecter la paix. Pourtant, tous ces efforts pour apporter la paix ont échoué. La paix est-elle un mirage, un objectif irréaliste et inaccessible, un rêve impossible ? Pourquoi le processus de paix est-il si frustrant et si difficile ? Bon nombre de gens, dans notre monde moderne, ne se rendent pas compte que les prophéties bibliques sont en marche dans les manchettes des journaux. La Bible ne prédit pas seulement les principaux défis de notre époque, elle révèle aussi pourquoi les efforts humains n’ont pas produit la paix. Les Écritures expliquent également le chemin de la paix, et comment la paix sur la terre sera finalement établie. Aujourd’hui, peu de gens comprennent ce que la Bible dit au sujet de la paix. Ce que Jésus a dit réellement Les prédicateurs prononcent souvent ce message de Noël Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. » Mais, il s’agit là d’une mauvaise traduction de ce que l’ange a réellement dit. La traduction correcte de l’annonce de la naissance du Christ, par l’ange est Gloire à Dieu […] et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » Luc 2 14. Elle pourrait aussi être rédigée comme suit Gloire à Dieu, et paix sur la terre parmi les hommes qui plaisent à Dieu », ou parmi les hommes en qui Dieu prend plaisir » – ce qui donne un sens totalement différent à cette déclaration The New Testament in 26 Translations. La Bible ne dit pas que la paix viendra par les bonnes intentions, ou par ceux qui coopèrent en faveur de la paix. En fait, elle dit exactement le contraire ! Nous entendons souvent parler d’un évangile sur la personne de Jésus, sur l’amour, la paix et l’harmonie. Mais Jésus a dit Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée » Matthieu 10 34. Il a montré que les différences politiques, religieuses et philosophiques, diviseraient les êtres humains et engendreraient des conflits jusqu’à la fin de cette ère. Il a aussi dit que, l’un des signes qui indiquerait que Son second Avènement est proche, serait une succession de nouvelles de guerres et de bruits de guerres […] une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume […] tout cela ne sera que le commencement des douleurs » Matthieu 24 6-8. Jésus n’a pas dit que les prières, les cierges, les négociations ou la bombe atomique apporteraient la paix. Il a prédit que la situation mondiale irait de mal en pis, et culminerait avec une grande tribulation, qui marquera la fin de cet âge Matthieu 24 9-23. Bon nombre de chefs religieux passent outre – ou ignorent – cet aspect important du message du Christ. Mais il fait partie des Écritures ! L’apôtre Paul a écrit Dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. » Cette époque sera caractérisée par l’égoïsme, le matérialisme, le scepticisme, le blasphème, la désobéissance, la brutalité et la poursuite insensée du plaisir, tout en ayant l’apparence de la piété, mais en reniant toute autorité de la religion dans leur vie 2 Timothée 3 1-5. Quelle description précise de notre époque ! Les prophètes hébreux ont prédit une époque à venir, où des dirigeants civils et religieux, bien intentionnés mais manquant de jugement, crieraient Paix ! paix ! […] et il n’y a point de paix » Jérémie 6 14. Ils diront Nous espérions la paix, et il n’arrive rien d’heureux » Jérémie 8 15. Dans le contexte des temps de la fin, Ésaïe nous avertit que les messagers [les ambassadeurs] de paix pleurent amèrement », en voyant que leurs plans et leurs efforts n’aboutissent à rien Ésaïe 33 7. Ézéchiel prophétisa Ils cherchent le salut, et point de salut ! [Ils cherchent la paix, et point de paix !] Il arrive malheur sur malheur » Ézéchiel 7 25-26. Jésus a prédit que la civilisation humaine fera face à la menace de son annihilation, et que si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » Matthieu 24 22. Les prophéties bibliques, qui sont vivantes aujourd’hui, révèlent que les efforts des hommes pour trouver la paix aboutiront à un échec. Les Écritures révèlent aussi pourquoi ! Le chemin de la paix En décrivant les efforts humains pour trouver la paix, la Bible déclare que les hommes ne connaissent pas le chemin de la paix » Ésaïe 59 8. Leurs efforts échouent parce que le monde a largement ignoré ou rejeté ce que dit la Bible au sujet de la paix. Le roi David a écrit Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi » Psaume 119 165, et Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier » Psaume 119 105, alors que la plupart de ceux qui se disent chrétiens, de nos jours, croient que la loi a été abolie ! Les lois divines nous montrent le chemin de la paix. Jésus a dit à Ses disciples Si vous m’aimez, gardez mes commandements » Jean 14 15, mais beaucoup de gens croient que cela n’est plus nécessaire ! Si l’on observe les commandements de Dieu, on ne sera pas assassin, voleur, envieux, menteur, adultère, fornicateur, irrespectueux envers nos parents ou envers ceux qui détiennent un poste d’autorité. L’observance des commandements nous indique la véritable façon d’aimer notre prochain, et d’éviter les conflits ! Si nous aimons Dieu, nous éviterons l’adoration idolâtre d’autres dieux ou de choses physiques. Nous ne suivrons pas les pratiques religieuses que condamne la Bible. Nous observerons les sabbats institués par Dieu, au lieu de choisir nous-mêmes les jours que nous voulons célébrer. Le chemin de la paix requiert d’apprendre à obéir et à vivre selon les lois divines. Discourir sur les commandements, brûler des cierges, prier les saints, participer à des marches ou chercher les négociations des Nations unies n’apportera pas une paix durable. Jésus-Christ est appelé le Prince de la paix » Ésaïe 9 5. Il a dit Je suis le chemin » Jean 14 6. Il n’y a pas d’autre chemin qui mène à la paix ! Comment la paix sera instaurée ? Jésus prêcha un Évangile au sujet du Royaume de Dieu à venir Marc 1 14-15. Ce n’est pas un évangile au sujet d’un bébé placé dans une mangeoire, qui attendrait patiemment que les gens Lui donnent leur cœur. Le Royaume n’est pas un sentiment chaleureux et doux, qui se trouverait dans votre cœur. Ce n’est pas l’Église, ou une communauté œcuménique relativement tranquille que l’Église établirait sur la terre avec des compromis et des consensus. Les prophéties bibliques déclarent que Jésus-Christ reviendra et prendra les rênes des royaumes de ce monde, et qu’Il gouvernera avec une grande autorité Apocalypse 11 15-18. Il établira à Jérusalem un gouvernement qui dominera le monde, et qui apportera la paix sur cette terre Ésaïe 2 2-4 ; 9 6-7. Les saints régneront avec le Christ Apocalypse 1 6 ; 5 10, et enseigneront à l’humanité à suivre les lois divines Ésaïe 30 20-21. Alors, les êtres humains apprendront une nouvelle façon de vivre, de leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes […] et l’on n’apprendra plus la guerre » Ésaïe 2 4. Voilà comment la paix sera établie sur la terre ! Ces prophéties s’accompliront dans les quelques années à venir. C’est ici le véritable message biblique de la paix, et du véritable Évangile ! Montrons que nous sommes des “hommes de bonne volonté” 1. a Quelles paroles une armée d’anges célestes ont-​ils prononcées ensemble lors de la naissance humaine de “Christ le Seigneur” ? b Qu’est-​ce qui indique qu’il ne doit y avoir que très peu d’hommes de bonne volonté à notre époque, et quelle question cela soulève-​t-​il ? LORS de la naissance humaine de “Christ le Seigneur”, qui allait devenir l’Oint qui proclamerait l’“année de bienveillance de la part ... de notre Dieu”, une armée d’anges célestes s’écrièrent ensemble “Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et sur la terre paix chez les hommes de bonne volonté.” Luc 213, 14. Il ne fait aucun doute que durant les dix-neuf siècles écoulés, il n’y a eu que très peu d’“hommes de bonne volonté”. Il s’agit d’“hommes qui ont sa faveur [celle de Dieu]” CT, d’hommes qui se sont attiré la bienveillance ou faveur de Jéhovah Dieu. Il est évident qu’ils doivent être peu nombreux, car, depuis 1914 en particulier, il n’y a eu que très peu de paix sur la terre, et de plus en plus de personnes laissent voir qu’elles ne possèdent pas la “paix de Dieu qui surpasse toute pensée”. Phil. 47. Comment est-​il possible à notre époque de devenir des “hommes de bonne volonté” de Dieu ? C’est ce que nous désirons être, n’est-​ce pas ? 2. Quelle leçon devrions-​nous tirer de ce qui est arrivé aux Juifs du premier siècle de notre ère, et pourquoi ? 2 Ce qui est arrivé aux Juifs de Palestine au premier siècle de notre ère doit nous servir d’avertissement. Leur expérience désastreuse n’est pas seulement historique, mais c’est aussi une image, un type ou exemple. L’apôtre Paul déclara sous inspiration “Or ces choses sont devenues nos exemples .... Or ces choses leur arrivaient comme exemples, et elles ont été écrites pour nous servir d’avertissement, à nous sur qui sont arrivées les fins des systèmes de choses.” I Cor. 106-11. Il est certain qu’avec la venue, le sacrifice, la résurrection et l’ascension de Jésus-Christ, les fins des systèmes de choses anciens étaient arrivées, comme cela est écrit dans Hébreux 926 “Mais maintenant il s’est manifesté lui-​même une seule fois à la clôture des systèmes de choses pour abolir le péché par son sacrifice.” Parallèlement, nous vivons aujourd’hui la clôture d’un système de choses. Cela est particulièrement évident depuis 1914, comme le prouvent sans l’ombre d’un doute les prophéties bibliques ainsi que les conditions et les événements mondiaux. Les exemples typiques rapportés dans la Bible ont donc été écrits pour nous servir d’avertissement. 3. a Tout comme les Juifs à l’époque des apôtres, dans quelle période de temps vivons-​nous ? b Quelle partie du “signe ... de la clôture du système de choses” est visible dans le monde entier, depuis quand et par qui est-​elle accomplie ? 3 Tout comme les Juifs à l’époque des apôtres, au premier siècle de notre ère, nous vivons nous aussi une période de faveur divine, l’“année de bienveillance de la part de Jéhovah”. Is. 611, 2, NW. Comme eux, nous vivons la clôture d’un système de choses. Lorsque Jésus donna sa prophétie sur “le signe ... de la clôture du système de choses”, il déclara à ses apôtres “Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée par la terre habitée tout entière en témoignage à toutes les nations ; et alors la fin viendra.” Mat. 243, 14. Cette “bonne nouvelle du royaume” n’est-​elle pas prêchée aujourd’hui dans le monde entier ? Certainement ; les faits et les chiffres le prouvent. Cela est particulièrement vrai depuis l’année 1914, date à laquelle, selon les calculs effectués par l’Association internationale des Étudiants de la Bible, les temps des Gentils ou “temps fixés des nations” ont pris fin ; le moment prévu par Dieu était ainsi venu d’installer dans les cieux son Royaume messianique, afin de libérer l’humanité. À partir de cette date, le Royaume établi de Dieu, et non plus le Royaume à venir, pouvait être prêché dans le monde entier comme une bonne nouvelle. Or, il a été proclamé. Par qui ? Par les témoins de Jéhovah. 4. a Tout comme au premier siècle de notre ère, de quelle attitude divine la proclamation de la bonne nouvelle est-​elle une preuve ? b Pourquoi devrions-​nous en profiter ? 4 Au premier siècle de notre ère, la proclamation du message divin “Repentez-​vous, car le royaume des cieux s’est approché”, était une preuve de la bienveillance de Dieu envers la nation juive Mat. 31, 2 ; 412-17 ; És. 823 91, NW ; 91 92, NW. De même aujourd’hui, la prédication du Royaume de Dieu établi depuis 1914 est une preuve de la bienveillance de Dieu. Il en est évidemment ainsi, car lorsque la proclamation du Royaume sera terminée, “alors la fin viendra” ; or, la fin du présent système de choses correspond au “jour de vengeance de la part de notre Dieu”. Puisque les témoins de Jéhovah continuent de prêcher cette “bonne nouvelle du royaume”, et cela sur une échelle toujours plus grande, il est donc clair que notre génération vit encore dans l’“année de bienveillance de la part de Jéhovah”. Une fois la proclamation du Royaume achevée, cette “année” doit se terminer. Il nous faut donc profiter de l’“année de bienveillance” avant que “le jour de vengeance” ne s’abatte sur le présent système de choses tout entier. L’avons-​nous fait ou le ferons-​nous ? 5. Selon II Corinthiens 521 à 62, qu’a écrit l’apôtre Paul à ceux qui occupaient une position semblable à la nôtre, et combien de temps avant la destruction de Jérusalem l’écrivit-​il ? 5 Nous vivons une époque appropriée pour cela, et notre vie est en jeu. Allons-​nous laisser passer l’occasion qui nous est offerte et, de ce fait, ne pas profiter de la bienveillance divine ou en manquer le but, ce qui reviendrait à laisser échapper le salut ? À ceux qui se trouvaient dans une situation semblable à la nôtre, l’apôtre Paul fit une exhortation, afin qu’il n’en soit pas ainsi. Pour exprimer sa pensée, il cita Ésaïe 498 Jé, où nous lisons “Ainsi parle Yahvé Au temps favorable [ou, au temps de bienveillance approbation, NW, 1958, n. m.], je t’exaucerai, le jour du salut, je te secourrai.” L’apôtre Paul écrivit donc “Celui [Jésus-Christ] qui n’a pas connu le péché, il l’a fait être péché pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu par son moyen. Travaillant avec lui, nous aussi, nous vous supplions de ne pas accepter la bonté imméritée de Dieu pour en manquer le but. Car il dit En un temps favorable, je t’ai entendu, et en un jour de salut je t’ai assisté.’ Voici, c’est maintenant le temps particulièrement favorable. Voici, c’est maintenant le jour du salut.” II Cor. 521 à 62. Paul écrivit cela vers l’année 55 de notre ère, soit environ quinze ans avant la destruction de Jérusalem, en l’an 70 de notre ère. 6. a Pourquoi sommes-​nous près de connaître un événement beaucoup plus grave que ce qui arriva aux Juifs en l’an 70 de notre ère ? b Pour autant que cela nous concerne, qu’est-​ce que nous ne voudrons pas faire par rapport à la bienveillance de Dieu ? 6 Le raisonnement inspiré de l’apôtre Paul s’applique avec tout autant d’urgence à notre époque, en cette “année de bienveillance”. Nous sommes près de connaître un événement beaucoup plus grave et plus extraordinaire que la destruction de Jérusalem et de son temple en l’an 70. Ce n’est pas un simple système national qui approche de sa fin catastrophique au “jour de vengeance de la part de notre Dieu”, mais un ordre de choses mondial et international, qui comprend tous les peuples, les tribus, les races et les religions non conformes à la Bible. Si nous le désirons, c’est pendant un court moment encore le “temps favorable” pour que nos prières adressées au seul vrai Dieu vivant soient agréées et exaucées. C’est encore le “jour de salut” durant lequel, si nous le désirons, nous pouvons bénéficier de l’aide divine pour survivre à l’exécution de son “jour de vengeance”. Grâce à la bonté imméritée de Dieu, nous vivons encore dans l’“année de bienveillance de la part de Jéhovah”. Si nous estimons à sa juste valeur l’occasion qui nous est offerte d’obtenir la vie éternelle dans le bonheur, nous ne voudrons pas manquer le but de la bonté imméritée de Dieu ou de sa bienveillance à notre égard. Comment le démontrer 7. a Quelle question se pose à tous ceux qui aimeraient vivre éternellement, et grâce à quoi pouvons-​nous répondre à cette question ? b À quoi Jean-Baptiste, Jésus-Christ et ses disciples ont-​ils encouragé les Juifs ? 7 À notre époque critique, la question suivante se pose à tous ceux qui aimeraient vivre éternellement dans un nouveau système de choses juste Comment puis-​je devenir un des “hommes de bonne volonté” ou démontrer que j’en suis un ? Grâce à la Parole écrite du Créateur de la vie, le Dieu de bienveillance, il est possible de répondre avec précision à cette question. Au premier siècle de notre ère, l’invitation suivante a été faite par Jean-Baptiste, puis par Jésus-Christ et ses apôtres “Repentez-​vous, car le royaume des cieux s’est approché.” Après sa résurrection d’entre les morts et peu de temps avant son ascension, Jésus déclara à ses disciples “Ainsi est-​il écrit que le Christ souffrirait et se lèverait d’entre les morts le troisième jour, et que sur la base de son nom la repentance pour le pardon des péchés serait prêchée dans toutes les nations.” Luc 2445-47. Le jour de la Pentecôte, aux nombreux Juifs qui demandèrent “Que ferons-​nous ?”, l’apôtre Pierre répondit “Repentez-​vous, et que chacun de vous se fasse baptiser au nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés.” — Actes 237, 38. 8. Lorsque Dieu admit les non-Juifs incirconcis dans la congrégation chrétienne, que leur a-​t-​il accordé selon les déclarations des chrétiens juifs ? 8 Plus de trois ans après, lorsque les chrétiens juifs de Jérusalem apprirent que les non-Juifs incirconcis des nations avaient été admis dans la congrégation chrétienne, ils dirent “Eh bien donc, Dieu a accordé aussi la repentance pour la vie aux gens des nations.” — Actes 101 à 1118. 9. Quel pas doit suivre la repentance, et comment Pierre a t-​il souligné cela en s’adressant à une foule de Juifs au temple de Jérusalem ? 9 Cependant, il ne suffit pas simplement de se repentir, c’est-à-dire d’éprouver du chagrin ou des regrets sincères en reconnaissant son état de pécheur ou avoir commis le péché. Celui qui se repent doit ensuite faire quelque chose se convertir ou se détourner du péché, et suivre la voie de la justice en produisant des fruits qui conviennent à la repentance. L’apôtre Pierre mit en évidence la nécessité de faire ce pas supplémentaire lorsque, s’adressant à une foule de Juifs au temple de Jérusalem, il dit “Dieu a accompli les choses qu’il a annoncées d’avance par la bouche de tous les prophètes, que son Christ souffrirait. Repentez-​vous donc, et retournez-​vous afin que vos péchés soient effacés, pour que des époques de rafraîchissement viennent de la personne de Jéhovah et qu’il envoie le Christ qui a été établi pour vous, Jésus, que le ciel, en fait, doit retenir en lui jusqu’au temps de la restauration de toutes choses dont Dieu a parlé par la bouche des saints prophètes d’autrefois.” Actes 318-21. Si nous nous détournons des péchés dont nous nous repentons, nous pouvons être sûrs que Jéhovah Dieu nous les pardonnera. 10. Comment après s’être repentie et convertie, une personne devient-​elle un des “hommes de bonne volonté” de Dieu ? 10 Tant le Juif naturel que le Gentil incirconcis devait se faire baptiser après s’être converti ou détourné du péché. Après sa résurrection, Jésus dit à ceux qui le suivaient d’aller et de faire des disciples de gens de toutes les nations, et il ajouta qu’ils devaient les baptiser au nom du Père et au nom du Fils et au nom de l’esprit saint’. Mat. 2819. Le baptême est un symbole de la repentance et de la conversion qui ont déjà eu lieu, et indique que le candidat s’est présenté ou voué sans réserve à Dieu le Père, par l’intermédiaire de Jésus-Christ, le Fils. De cette façon, le croyant devient un disciple du Christ et en même temps l’un des “hommes de bonne volonté” de Dieu, l’un des “hommes qui ont sa faveur” ou à qui il accorde sa paix. — Luc 214, CT. 11. En venant ainsi à Dieu, qui ces personnes imitent-​elles, et quelle prophétie se réalisa lors de son baptême ? 11 En faisant ainsi le bon plaisir de Dieu, ces personnes ne font pas qu’obéir au commandement du Christ, mais suivent l’excellent exemple qu’il a laissé. Lorsque Jésus se présenta à Dieu le jour où Jean-Baptiste le baptisa dans le Jourdain, il accomplit les paroles prophétiques du Psaume 408, 9 407, 8, NW, qui expriment sa disposition de cœur en ces termes “Alors je dis Voici, je viens avec le rouleau du livre écrit pour moi. Je veux faire ta volonté [ce qui est ton bon plaisir, Da], mon Dieu ! Et ta loi est au fond de mon cœur.” 12. a Où trouve-​t-​on l’application à Jésus des paroles prophétiques du psalmiste ? b De même, lors de notre baptême, que décidons-​nous de faire pour nous concilier la bienveillance de Dieu ? 12 Dans Hébreux 105-9, le rédacteur inspiré applique ces paroles du psalmiste à Jésus au moment de son baptême, disant “C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit “Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. Tu n’as approuvé ni holocaustes ni offrande pour le péché.” Alors j’ai dit “Voici, je viens dans le rouleau du livre il est écrit de moi pour faire ta volonté, ô Dieu.”’ Après avoir dit d’abord Tu n’as pas voulu ni approuvé sacrifices et offrandes, holocaustes et offrande pour le péché’ — sacrifices qui sont offerts selon la Loi — alors il dit en fait Voici, je suis venu pour faire ta volonté.’” Cette volonté de Dieu était une bonne “volonté” ; c’était son bon plaisir ou ce qui lui plaisait. Ainsi, lorsque au moment de son baptême Jésus se présenta pour faire la volonté divine, il fit ce qui était le bon plaisir de Dieu, ce qui lui plaisait. De même, lorsque nous décidons de faire la volonté de Dieu ou son bon plaisir, nous nous concilions sa bonne volonté ou bienveillance. 13. a À qui appartient le Roi du peuple dont nous devenons membres en tant qu’“hommes de bonne volonté” ? b Comment les membres de ce peuple s’unissent-​ils avec enthousiasme à ces “cris de joie” ? 13 En tant qu’“hommes de bonne volonté” de Dieu, nous devenons membres de son peuple sur lequel règne Jésus-Christ, son Fils intronisé, qui occupe maintenant la fonction de Roi dans les cieux. Concernant ce peuple, la prophétie rapportée dans Psaume 8915-18 NW annonçait “Heureux est le peuple qui connaît les cris de joie. Ô Jéhovah, à la lumière de ta face ils continuent à marcher. En ton nom ils sont joyeux tout au long du jour et en ta justice ils s’élèvent. Car tu es la beauté de leur force ; et par ta bienveillance notre corne s’élève. [Pourquoi ?] Car notre bouclier appartient à Jéhovah, et notre roi appartient au Saint d’Israël.” Leur Roi n’appartenant à aucune nation belliqueuse de la terre, mais à Jéhovah Dieu, les membres de ce peuple sont heureux et poussent des cris de joie. Ils s’unissent avec enthousiasme pour prêcher “cette bonne nouvelle du royaume” par la terre habitée tout entière en témoignage à toutes les nations, afin qu’elles puissent connaître le seul gouvernement juste avant leur destruction lors du “jour de vengeance de la part de notre Dieu”. 14. Plutôt que d’entendre les rugissements du Roi, que préfèrent ces “hommes de bonne volonté”, et, à notre époque où s’effectue la séparation des hommes, de quel côté de ce Roi désirent-​ils se trouver ? 14 Ils désirent rester dans la faveur de ce Roi qui appartient à Jéhovah. Ils ne tiennent pas à entendre son rugissement et son courroux lors du “jour de vengeance” de la part de son Dieu. Ils ne désirent pas ressentir les effets brûlants de sa colère, mais préfèrent être rafraîchis par sa faveur. Ils ont présent à l’esprit le texte de Proverbes 1912 NW, qui déclare “La fureur d’un roi est comme le grondement d’un jeune lion à crinière, mais sa bienveillance est comme la rosée sur la végétation.” Les disciples, semblables à des brebis, sont impatients d’être placés à la droite du Roi au “temps de la fin”, lorsqu’il séparera les hommes de toutes les nations, tout comme le berger sépare les brebis des boucs. — Mat. 2531-46. Restons l’objet de la bienveillance de Jéhovah 15. Selon Proverbes 1120, 27, que devons-​nous continuer de faire après être devenus des hommes ayant la faveur de Dieu ? 15 Une fois devenus des hommes ayant la faveur de Dieu, nous devons continuer de démontrer que nous sommes ses “hommes de bonne volonté”. Pour cela, il nous faut rechercher continuellement sa bienveillance en cultivant la droiture dans notre cœur. C’est ce que nous montre le livre des Proverbes “Ceux qui sont tortueux de cœur sont quelque chose de détestable pour Jéhovah, mais ceux qui sont irréprochables dans leur vie sont pour lui un plaisir. Celui qui recherche le bien continuera à chercher la bienveillance ; mais quant à celui qui recherche le mal, celui-ci viendra sur lui.” Prov. 1120, 27, NW. Avec un cœur droit, nous continuerons de sonder la Parole de Dieu, afin de savoir comment être l’objet de sa bienveillance maintenant et à toujours. Nous craignons de devenir quelque chose de détestable pour Jéhovah et de recevoir de mauvaises choses lors de son “jour de vengeance” qui approche rapidement. 16. Pour rester l’objet de la bienveillance de Jéhovah que devons-​nous toujours rechercher, et, selon Proverbes 834, 35 et Psaume 14310, où devons-​nous le faire ? 16 Si nous continuons de rechercher la sagesse céleste et d’agir conformément à celle-ci, en étant toujours prêts à profiter de tout ce qui peut nous aider à l’acquérir, nous nous assurerons la bienveillance de Jéhovah. Cela nous procurera un bonheur éternel. Dans Proverbes 834, 35 NW, la Sagesse personnifiée nous parle ainsi “Heureux est l’homme qui m’écoute en se tenant éveillé à mes portes, jour par jour, en veillant près des montants de mes entrées. Car celui qui me trouve trouvera assurément la vie, et obtient la bienveillance de Jéhovah.” Nous jouirons donc du bonheur, de la vie et de la bienveillance divine si nous allons là où les “hommes de bonne volonté” de Dieu se réunissent et si nous veillons régulièrement près des montants de ses entrées pour y entendre parler de sa Parole écrite pleine de sagesse, tout en rejetant celle du présent monde. Avec le psalmiste nous prions Jéhovah en ces termes “Enseigne-​moi à faire ta volonté [ton bon plaisir, CT] ! Car tu es mon Dieu. Que ton bon esprit me conduise sur la voie droite !” Ps. 14310. Nous savons que si nous faisons ce qui est son bon plaisir, nous nous concilierons sa bienveillance. 17. Qui avons-​nous besoin de fréquenter, que serons-​nous incités à faire, et, selon Proverbes 122, 22, qu’obtiendrons-​nous de la part de Jéhovah ? 17 Tandis que s’approche le “jour de vengeance”, il est de plus en plus recommandé aux “hommes de bonne volonté” de Jéhovah de se réunir pour se faire du bien mutuellement. C’est l’exhortation que nous trouvons dans Hébreux 1024, 25, où il est dit “Observons-​nous les uns les autres pour nous inciter à l’amour et aux œuvres excellentes, ... en nous encourageant mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez approcher le jour.” Cela nous fortifiera en vue de continuer à faire ce qui est bien aux yeux de Jéhovah et à proclamer fidèlement les vérités de sa Parole. N’oublions jamais ces paroles proverbiales pleines de sagesse “Celui qui est bon obtient l’approbation [la faveur, Da] de Jéhovah, mais l’homme aux idées méchantes, il le déclare méchant. Les lèvres mensongères sont quelque chose de détestable pour Jéhovah, mais ceux qui agissent avec fidélité sont pour lui un plaisir.” — Prov. 122, 22, NW. 18. De quel genre d’offrandes nos prières doivent-​elles être accompagnées pour être agréées par Jéhovah ? 18 Si nous restons l’objet de la bienveillance de Jéhovah, nous pouvons être assurés qu’il écoutera nos prières. Ce sera particulièrement le cas si nous les accompagnons des offrandes décrites dans Hébreux 1315, 16 un “sacrifice de louanges” ainsi que faire le bien et partager avec d’autres’. Alors Jéhovah agréera nos prières, comme nous l’assure Proverbes 158 AC, où il est dit “Le sacrifice des méchants est en horreur à Jéhovah, mais la prière des hommes droits lui plaît.” — Jér. 620. 19. Depuis quand et comment le temple spirituel de Jéhovah est-​il devenu une “maison de prière pour tous les peuples”, et en quels termes cela a-​t-​il été annoncé ? 19 Pendant cette “année de bienveillance de la part de Jéhovah”, qui dure encore, il a fait de son temple spirituel une maison de prière pour tous les peuples. Cela est particulièrement vrai depuis 1935, date à laquelle il a commencé à amener à son temple spirituel une “grande foule” d’adorateurs venus “de toutes nations, et de toutes tribus, et de tous peuples, et de toutes langues”, pour qu’ils lui rendent un service sacré aux côtés du reste des disciples oints de l’Agneau Jésus-Christ Rév. 79-15. En demeurant spirituellement purs et loyaux envers son Royaume messianique, ils ont la joie de savoir que Jéhovah accepte leurs sacrifices qui consistent à le louer, à faire des œuvres excellentes et à partager généreusement avec leurs semblables. Pour leur encouragement, la prophétie suivante a été écrite il y a bien longtemps “Je les amènerai sur ma montagne sainte, et je les réjouirai dans ma maison de prière ; leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelée une maison de prière pour tous les peuples.” — És. 567. 20. Quelle prière adressons-​nous constamment vers les cieux, et quel genre de paroles désirons-​nous entendre chez les personnes que nous fréquentons ? 20 C’est aujourd’hui une très grande joie que d’être aux côtés des “hommes de bonne volonté” de Jéhovah. Nous désirons rester suffisamment purs et fidèles pour être dignes d’être comptés parmi eux. Nous adressons donc constamment cette prière vers les cieux “Souviens-​toi de moi, ô Jéhovah, dans la bienveillance envers ton peuple. Prends soin de moi par ton salut.” Ps. 1064, NW. Lorsque nous sommes en compagnie de ces “hommes”, nous entendons des paroles qui plaisent à Jéhovah. “Les lèvres du juste — elles connaissent la bienveillance, mais la bouche des méchants est perversité.” — Prov. 1032, NW. 21, 22. a Quelle différence y a-​t-​il entre le temps où nous étions sous le courroux de Dieu et maintenant que nous sommes l’objet de sa bienveillance ? b Pour combien de temps désirons-​nous être l’objet de sa bienveillance, et quels cris de joie pousserons-​nous ? 21 Auparavant nous étions sous le courroux divin, parce que nous n’accomplissions pas la volonté ou le bon plaisir de Jéhovah Dieu. Cependant, maintenant que nous avons profité de cette “année de bienveillance”, cette condition antérieure nous paraît avoir duré un instant, telle une sombre et triste soirée passée. Cela nous rappelle les déclarations du psalmiste David, après qu’il eut été rétabli dans la faveur divine ; il dit “Car être sous sa colère, c’est pour un instant, être sous sa bienveillance c’est pour toute une vie. Au soir les pleurs peuvent venir loger [avec nous], mais au matin il a un cri de joie.” Ps. 305, NW. Ayant profité définitivement de l’“année de bienveillance” de Jéhovah, nous avons été libérés du soir momentané passé sous le courroux divin et dans les pleurs, et nous sommes entrés dans le matin de sa bienveillance avec “un cri de joie”. 22 Puissions-​nous faire en sorte que notre présence sous la bienveillance de Jéhovah ne dure pas un simple matin, mais “toute une vie” ! Nous avons même la possibilité d’y demeurer pour la “vie” éternelle. Étant l’objet de la bienveillance de Jéhovah, nous pousserons donc sans cesse des cris de joie’ reconnaissants, qui seront autant d’actions de grâces et de louanges que nous adresserons à Jéhovah par Jésus-Christ. Le Gloria in excelsis fait partie, comme le Kyrie, du fond liturgique le plus ancien. Il était d’abord chanté en langue grecque. Dans le répertoire grégorien le Gloria XIV disponible sur Internet remonte à un chant byzantin plus ancien. Son insertion dans la liturgie de la messe est attribuée par le pape Innocent III XIIIème siècle au pape Télesphore IIème siècle, sans que l’on puisse vérifier une telle antiquité. En tout état de cause, au IIème siècle, la liturgie romaine parlait souvent grec, c’était là l’effet d’une première mondialisation. Comme dit le Poète ; La Grèce conquise avait conquis son farouche vainqueur », dans tous les domaines de la culture, y compris la liturgie première phrase est tirée du récit de la nativité et reprend le chant des anges dans la campagne de Bethlehem. Gloire à Dieu au plus haut des cieux ce gloria est avant tout un chante de louange. La louange constamment présente dans les psaumes est la première fin de la prière. Gloire à Dieu et paix sur terre à ceux qui le sur la terre aux hommes de bonne volonté traduit saint Jérôme, on pourrait presque dire aux gens biens. Dans son De Libero arbitrio, saint Augustin se sert de ce verset évangélique. Il considère que tout homme, au fond de lui-même, se caractérise par la bona voluntas, la volonté du bien, que l’on trouve déjà chez Platon. Pour Augustin, le péché originel ne détruit pas cette volonté bonne, mais la rend plus difficile à suivre. Elle devient pure velléité et ne se raffermit que par la grâce. Je ne fais pas le bien que j’aimerais faire et je fais le mal que je déteste » dit saint Paul Rom. 7 dans le même sens. Kant reprendra à Augustin et à Rousseau cette notion de volonté bonne, qu’il dressera en faveur de l’homme et de l’humanisme contre le matérialisme du XVIIIème siècle. Il y a dans l’homme, absolument indémontrable, un goût pour le bien qui na change pas d’une génération à l’autre – même si, remarquait déjà Origène, l’instinct humain n’est pas sûr et lui fait faire les pires choses sous apparence de Delebecque dans la traduction de l’Evangile de Luc qu’il a donnée aux Belles Lettres, souligne que ce passage peut se traduire par les hommes du choix » de Dieu plutôt que les gens de bonne volonté ». Il retrouve ainsi la notion de prédestination au bien, que l’on observe aussi chez saint Paul. Le mieux est peut-être de dire que les deux lectures sont possibles, pour un mot eudokia qui est peu utilisé comme substantif paix sur terre aux hommes qui semblent bons c’est de bonne volonté qu’il s’agit là et paix sur terre aux hommes qui sont choisis par le Seigneur, qui Lui semblent bons. Cette richesse de sens peut être accueillie avec profit par chacun. Elle marque l’inévitable transcendance du bien. On la retrouve en français dans l’ambiguïté sonore de la traduction liturgique paix aux hommes qui l’aiment » ou paix aux homme qu’Il aime »…Ce chant angélique » comme on l’appelle, puisqu’il reprend le chant des anges dans la nuit de Noël, indique quel respect l’on porte à la liturgie, qui, comme dans le livre de l’Apocalypse, a lieu avec les anges. Ce sont les anges qui chantent la gloire de Dieu et qui constatent, vue de haut, la paix sur la terre si les hommes respectent Dieu. On retrouvera cette présence des anges à la fin de la Préface dans le chant du Sanctus. On ne peut pas comprendre la liturgie, si l’on refuse de considérer que ses premiers protagonistes sont des anges, les anges qui, comme naguère le Propitiatoire dans le Temple de Jérusalem, entourent toujours l’autel de part et d’autre et contribuent à porter nos prières jusqu’à chant du Gloria est foncièrement joyeux, car reconnaître et louer la puissance de Dieu ne peut que nous mettre en joie. Pendant l’Avent et le Carême il n’y a pas de Gloria la préoccupation est plus à la pénitence.

paix sur la terre aux hommes de bonne volonté